Pourquoi découvrir le Parc National de la Mauricie

Lac Edouard - Good Morning Montreal

Envie de vous échapper le temps d un week-end en pleine nature ?

Nous vous invitons à tester l’expérience oTENTik dans le parc national de la Mauricie à seulement 1h30 de Montréal. oTENTik c’est l’authenticité (étonnant hein !) « de ma cabane au Canada » avec le confort d’un hôtel (enfin presque!). Ces chalets-tentes disposent de vrais lits (5 places), coin repas, tout le kit pour cuisiner, foyer intérieur. Les plus courageux pourront même s’y rendre en hiver. A l’extérieur, un coin aménagé « veillées au coin du feu » vous attend avec des confortables chaises Adirondacks. Côté salle de bain, elles sont communes et basiques,  mais on est en Mauricie pour profiter de la nature donc nous n’en demandons pas plus.

Côté activités, impossible de s’ennuyer avec les nombreux sentiers de randonnées et lacs navigables.

Jour 1 : Nous avons attaqué avec le sentier #14 : Ruisseau-Bouchard, une randonnée de 8.3kms à travers les bois au départ du pavillon de services de Rivière-à-la-pêche (situé à 5.5kms de l’entrée St-Jean-des-Piles). Cette randonnée n’est pas techniquement difficile même s’il y a quelques côtes et descentes à pic (des cordages vous aideront). Les montées offrent de beaux points de vues sur la rivière St-Maurice, le Lac Solitaire, et le Lac aux Chevaux. Soyez patient pour votre lunch, vous trouverez sur le chemin après les descentes à pics et une petite montée, deux chaises Adirondacks rouges offrant un panorama idéal pour une petite pause. Il faut compter entre 3h et 4h de marche dépendant de votre forme du moment et du temps que cela vous prend de faire la photo Instagram parfaite 😉

Lac Wazipagonke - Good Morning Montreal

Jour 2 : Sur les bons conseils de l’agent d’accueil, nous nous sommes lancés dans l’aventure canot/rando direction les chutes Waber. Au programme, 8kms de canot à travers le lac Wapizagonke, puis randonnée de 6kms à la découverte des chutes. La balade en canot sur le lac Wapizagonke est vraiment agréable et pour les moins habitués d’entre nous, facilement navigable. Seul un endroit vous donnera un peu de fil à retordre mais surtout bien du fun ! Petit conseil, avant de vouloir mettre les pieds dans l’eau pour « tirer » votre canot, assurez vous avec votre pagaie que cela ne soit pas trop profond, cela vous évitera de vous « enfoncer » dans la vase jusqu’à la taille. Une fois arrivé à bon port, stationnez votre canot sur la plage et suivez les pancartes, le sentier est bien balisé, impossible de se perdre. Vous passerez au travers de forêts assez différentes, tantôt sous bois, tantôt forêt  « fouillus » (oui mon vocabulaire végétal est limité, désolée 😉 ). Les « frontières » forestières sont bien marquées, ce qui rend la marche assez surprenante. Le long du chemin, vous trouverez au sol des poutres et racks en bois vous permettant de transporter votre canot jusqu’aux chutes. Vous aurez alors toute mon admiration car c’est rude et long lorsqu’on porte un bateau à bout de bras ! En milieu de parcours, un belvédère, vous offre un panorama sur les alentours et le lac Wapizagonke. Pour accéder aux chutes, cela vous prendra encore un bon 15-20 minutes. Vous verrez le bout du chemin, une fois en descendant les quelques marches des escaliers aménagés qui vous emmènent en bas des chutes. Profitez-en pour pic-niquer à l’ombre, un petit vent de fraîcheur viendra vous requinquer avant d’entamer le retour.  Au printemps, les chutes ont un fort débit et sont assez impressionnantes,  il y a quelques  restants de glace hivernale ici et là, vous rappelant qu il peut faire encore froid la nuit dans le coin à cette saison.

De retour de notre périple, nous avons pris le chemin des Cascades (pavillon de service Wapizagonke), histoire de maximiser la journée. Ici, on ne parle pas de randonnée ni même de balade tellement le chemin est court et aménagé. Vous pouvez si vous le souhaitez faire une boucle plus longue. De notre côté, nous avions notre quota de kilomètres dans les bras et les jambes. Les Cascades sont un lieu privilégié l’été pour se baigner, d’ailleurs vous trouverez des belles plages aux alentours et une grande aire de pic-nic.

Jour 3 : Réveil quelques peu endolori par les randonnées des jours précédents. Mais les courbatures n’auront pas raison de notre motivation. On part destination le lac Gabet, (nous sommes des petits joueurs, ce n’est qu’une balade de 4kms mais quand même !).
En chemin, nous avons l’immense chance de croiser une maman ours et son petit qui traversaient gentiment la route. Ce qui a pour effet de conclure en beauté notre weekend en Mauricie.

Ce fut vraiment une belle fin de semaine dépaysante. Si comme nous, vous avez envie de vous évader à seulement 1h30 de Montréal, une seule destination le parc national de la Mauricie.

Voici ce dont vous aurez besoin pour votre expérience oTENTik (non exhaustif) :

  • Oreiller
  • Sac de couchage
  • Draps
  • Nécessaire de salle de bain
  • Linge de Vaisselle
  • Chasse-moustique
  • Crème solaire
  • Allumettes
  • Guimauve 😉

Pour plus d’infos :

Parc National de la Mauricie

Tourisme Mauricie

 

 

 

4 bonnes raisons d'aimer Le Petit Alep

Je suis tombée en amour de mon quartier « Villeray ». Et lorsque je découvre des endroits comme le restaurant le Petit Alep et ben mon quartier je l’aime encore plus.

Attention GROS COUP DE CŒUR (oui, tellement que je l’écris en cap’).

Le Petit Alep est un restaurant aux couleurs du Moyen Orient qui nous fait découvrir la cuisine Syrienne et Arménienne si riches en saveurs. Sur la carte, tous les plats proposés mettent l’eau à la bouche autant les mezzés (plat à partager) que les viandes grillées qui sont juste délicieuses. Chaque bouchée est une découverte de nouvelles saveurs. Je ne peux que vous conseiller de tester la Moussaka, vous allez avoir une belle surprise. Si comme nous, vous avez un appétit d’ogre (ce soir là !), nous vous conseillons de goûter à plusieurs mezzés en version mini et d’enchaîner avec un délicieux plat, la carte en regorge. Nous avons dégusté un Kabab Osmally qui est une brochette de bœuf haché avec sauce tahiné, nappée d’un beurre à l’ail et à la coriandre, amandes et pignons sautés. (plat très très très copieux mais tellement bon ! mais Mr G à tout fini …) et un Chiche Taouck qui est une brochette de poulet mariné dans une sauce aillée à la mélasse de grenade et au jus (sincèrement, il s’agit du meilleur poulet mariné que j’ai eu la chance de goûter).

En bref, voici 4 bonnes raisons d’adorer Le Petit Alep:

  • la cuisine est excellente,
  • la déco est soignée, simple et chaleureuse,
  • les prix sont plus qu’attractifs,
  • l’équipe est juste adorable, elle sait prendre le temps de jaser avec vous et de vous conseiller sur la carte malgré la salle bondée.

Courrez donc tester ce restaurant qui a pignon sur rue (Jean Talon) depuis une vingtaine d’année, profitez d’être dans le quartier pour ensuite aller faire un tour au marché, sur De Castelneau avec ses nouveaux commerces (Les Givrés, Garçon Fleur, Crackpot etc…) puis terminer par une balade au Parc Jarry et votre journée sera juste parfaite 😉

Le Petit Alep

191 Rue Jean-Talon E, Montréal, QC, (514) 270-9361

Réservation possible pour le dîner de 11h à 14h

Metro : Jean Talon / De Castelneau 

Crédit photo : Goodmorningmontreal.com /Googleplus

4 bonnes raisons d’aimer Le Petit Alep

Je suis tombée en amour de mon quartier « Villeray ». Et lorsque je découvre des endroits comme le restaurant le Petit Alep et ben mon quartier je l’aime encore plus.

Attention GROS COUPS DE CŒUR (oui, tellement que je l’écris en cap’).

Le Petit Alep est un restaurant aux couleurs du Moyen Orient qui nous fait découvrir la cuisine Syrienne et Arménienne si riches en saveurs. Sur la carte, tous les plats proposés mettent l’eau à la bouche autant les mezzés (plat à partager) que les viandes grillées qui sont juste délicieuses. Chaque bouchée est une découverte de nouvelles saveurs. Je ne peux que vous conseiller de tester la Moussaka, vous allez avoir une belle surprise. Si comme nous, vous avez un appétit d’ogre (ce soir là !), nous vous conseillons de goûter à plusieurs mezzés en version mini et d’enchaîner avec un délicieux plat, la carte en regorge. Nous avons dégusté un Kabab Osmally qui est une brochette de bœuf haché avec sauce tahiné, nappée d’un beurre à l’ail et à la coriandre, amandes et pignons sautés. (plat très très très copieux mais tellement bon ! mais Mr G à tout fini …) et un Chiche Taouck qui est une brochette de poulet mariné dans une sauce aillée à la mélasse de grenade et au jus (sincèrement, il s’agit du meilleur poulet mariné que j’ai eu la chance de goûter).

En bref, voici 4 bonnes raisons d’adorer Le Petit Alep:

  • la cuisine est excellente,
  • la déco est soignée, simple et chaleureuse,
  • les prix sont plus qu’attractifs,
  • l’équipe est juste adorable, elle sait prendre le temps de jaser avec vous et de vous conseiller sur la carte malgré la salle bondée.

Courrez donc tester ce restaurant qui a pignon sur rue (Jean Talon) depuis une vingtaine d’année, profitez d’être dans le quartier pour ensuite aller faire un tour au marché, sur De Castelneau avec ses nouveaux commerces (Les Givrés, Garçon Fleur, Crackpot etc…) puis terminer par une balade au Parc Jarry et votre journée sera juste parfaite 😉

Le Petit Alep

191 Rue Jean-Talon E, Montréal, QC, (514) 270-9361

Réservation possible pour le dîner de 11h à 14h

Metro : Jean Talon / De Castelneau 

 

 

L’Arbre et la Pirogue

Vivre à l’étranger, c’est vivre le cœur partagé entre 2 pays, ton pays de sang, là où sont tes racines et ton pays de cœur, là où sont tes envies. Les envies changent mais les racines, elles, restent bien ancrées.

« Tout homme est tiraillé entre deux besoins, le besoin de la Pirogue, c’est-à-dire du voyage, de l’arrachement à soi-même, et le besoin de l’Arbre, c’est à dire de l’enracinement, de l’identité, et les hommes errent constamment entre ces deux besoins en cédant tantôt à l’un, tantôt à l’autre ; jusqu’au jour où ils comprennent que c’est avec l’Arbre qu’on fabrique la Pirogue. Mythe mélanésien de l’île du Vanuatu ».

Merci à mon amie Marie pour cette belle citation.

 

 

 

L'Arbre et la Pirogue

Vivre à l’étranger, c’est vivre le cœur partagé entre 2 pays, ton pays de sang, là où sont tes racines et ton pays de cœur, là où sont tes envies. Les envies changent mais les racines, elles, restent bien ancrées.

« Tout homme est tiraillé entre deux besoins, le besoin de la Pirogue, c’est-à-dire du voyage, de l’arrachement à soi-même, et le besoin de l’Arbre, c’est à dire de l’enracinement, de l’identité, et les hommes errent constamment entre ces deux besoins en cédant tantôt à l’un, tantôt à l’autre ; jusqu’au jour où ils comprennent que c’est avec l’Arbre qu’on fabrique la Pirogue. Mythe mélanésien de l’île du Vanuatu ».

Merci à mon amie Marie pour cette belle citation.

 

 

 

Se sucrer le bec

Aujourd’hui, je ne partagerai pas avec vous une bonne adresse, tout simplement car cela ne vaut pas le déplacement. Certain blog, n’hésites pas à dénigrer certain restaurants sous crédit qu’ils y sont allés une seule fois et que selon leur opinion c’était pas top. Ce n’est pas ce que je considére un avis objectif.

Bref, je préfère vous parler d’une « tradition » québécoise bien agréable. Le rendez-vous annuel à la cabane à sucre.

On s’y rend comme pour célébrer l’arrivée du printemps ou la fin de l’hiver qui va arriver un jour peut-être…

Il s’agit d’un rendez-vous familiale, amicale qui réchauffe le cœur durant cet hiver qui n’en finit plus. Cela tombe aussi avec l’arrivée du printemps mais il est un peu trop tôt pour le célébrer, il a fait particulièrement froid cette fin de semaine là.  On se retrouve donc à cette occasion dans une « cabane » à la décoration chaleureuse, de grandes tablées, des nappes à carreaux, avec pain, beurre, pickles et bien évidemment une bouteille de sirop d’érable sur la table. Soyons honnête, ce n’est pas un rendez-vous gastronomique, la plupart du temps la bouffe laisse à désirer, mais finalement noyée sous des litres de sirop cela devient pas si pire. Et puis, on n’y va rarement pour le menu mais plus pour passer un bon moment, en bonne compagnie.

Le seul petit truc qui me chagrine avec les cabanes à sucre en tous cas celles que nous vous avons testé jusqu’à maintenant, c’est que c’est un peu un disneyland-cheap, on envoie valser « la tradition » pour installer des lamas, chèvres, ânes en espérant que les enfants les nourrissent avec des graines à 1$, sans oublier le tour de calèche autour du parking qui fait genre 200m. Really ! Bref, l’année prochaine on optera sûrement pour une cabane à sucre plus petite comme la Belle Epoque qui est sur ma wishlist.

Je vous souhaite donc de profiter de ces temps en familles/amis à la cabane et de faire une overdose de sirop d’érable en attendant le printemps 🙂

Un grand merci à mon amie Christine pour les photos.

A bientôt en direct de la France.

A.